En avril 2020 déjà, la REHVA (Fédération des associations européennes de chauffage, ventilation et climatisation) émettait des conseils et des recommandations portant sur l’utilisation de la ventilation face à la pandémie de COVID-19. Ces recommandations ont depuis été mises à jour à deux reprises, la dernière le 3 août, l’accent étant alors mis sur le moyen le plus sûr de rouvrir les bâtiments. Elles ont également une incidence sur la manière d’utiliser les centrales Airmaster.
Les centrales Airmaster permettent de suivre au mieux les conseils et directives de la REHVA :
Il est possible de configurer les centrales Airmaster pour qu’elles s’enclenchent et s’arrêtent selon un programme, mais aussi d’augmenter le volume d’air. Enclenchez et arrêtez les centrales quelques heures avant et après l’occupation des locaux, ou envisagez de les laisser fonctionner 24 heures sur 24. Airmaster Airlinq® Online permet de configurer cela en toute simplicité via le portail en ligne d’Airmaster.
Les centrales Airmaster utilisent des échangeurs à contre-courant de qualité qui garantissent une séparation totale entre l’air entrant et l’air sortant. Elles présentent également une classe de haute densité en ce qui concerne les fuites internes.
Elles garantissent une séparation totale de l’air entrant et de l’air sortant : l’air frais pénètre à l’intérieur sans jamais entrer en contact avec l’air vicié. Et ce dernier ne fait pas non plus le tour des bâtiments puisque les centrales sont autonomes et ventilent uniquement la pièce dans laquelle sont installées.
S’il y a longtemps que votre centrale a subi un entretien, mieux vaut envisager de le faire. Il n’est pas nécessaire de faire entretenir votre centrale au-delà des recommandations normales, mais des filtres bloqués peuvent en limiter la capacité et, par conséquent, réduire la quantité d’air frais.
Outre celles de la REHVA, de nombreuses autres recommandations ont été formulées en matière de climat intérieur par rapport au coronavirus.
De plus en plus de scientifiques évoquent le risque de propagation de l’infection dans l’air par le biais de ce qu’on appelle les aérosols, des particules microscopiques capables de rester dans l’air pendant un certain temps. Ces particules sont présentes partout et sont assez légères pour flotter dans l’air, comme la fumée, les postillons et la salive. S’il n’est pas encore prouvé que le coronavirus peut se propager à travers l’air, il existe des preuves que d’autres virus le peuvent, ce qui a conduit certains scientifiques à promouvoir le principe du précaution.
Les recommandations de l’ECDC (Centre européen de prévention et de contrôle des maladies) du 22 juillet 2020 préconisent entre autres d’inclure la ventilation dans les mesures préventives visant à réduire l’infection
Transmission du SARS-CoV-2 : implications pour les procédures de prévention des infections